Le café du pont

Film de Manuel Poirier

avec Bernard Campan, Cécile Rebboah, Thomas Durastel...

Durée : 1H34


1947. Après avoir souffert de privations pendant la guerre, la famille Perret retrouve enfin une vie normale. Durant l’occupation allemande, grâce à leur café situé au bord de la Garonne dans le sud-ouest de la France, ils ont été relativement épargnés. Les parents de Pierrot consacrent leur temps et leur énergie à gérer leur bistrot, qui accueille ouvriers et mariniers. Maurice, son père, a aidé le réseau de résistance local, tandis que Claudia, sa mère, s’employait à résoudre les conflits. Elle n’hésite pas à corriger l’instituteur qui inflige régulièrement à Pierrot, âgé d’une dizaine d’années, des punitions corporelles. À la libération, l’enfant peut donner libre cours à ses loisirs favoris : le saxophone, la pêche en eau douce, la cueillette des champignons, la chasse aux escargots et aux grenouilles. Il rend visite à sa grand-mère qui lui tricote des pulls pour l’hiver. Maurice, fier de son affaire florissante, décide de s’endetter et de construire une salle de bal adjacente au café. Il en est persuadé : les villageois ont besoin de se divertir et quoi de mieux que de danser au rythme de l’accordéon ! Pierrot y donne ses premiers concerts. Malgré le succès de son projet, Maurice constate que le travail devient de plus en plus dur, surtout pour sa femme. Très affaiblie, Claudia doit cesser sur-le-champ toute activité professionnelle sous peine d’y laisser la vie, ordre du médecin…






04/08/2010
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